jeudi 31 décembre 2009

Bonne et heureuse année 2010 !!

Soyez ambitieux, soyez généreux, soyez patenteux, soyez bougonneux, mais soyez heureux ! xx

dimanche 27 décembre 2009

Le soleil et l'horloge


Une belle découverte. Je crois que je viens de comprendre pourquoi on place toujours (ou presque) les horloges à une plus haute altitude que nos têtes. Ça nous rappelle le soleil. Tout comme celui-ci, on doit regarder vers le haut pour voir ce cercle nous indiquer le moment précis de la journée. Wow. C'est une bien belle découverte.

jeudi 23 juillet 2009

Croquette au tofu pour faire craquer son homme

Ne changez rien aux ingrédients de cette succulente recette.

http://www.passeportsante.net/


Préparez-là tel qu'indiquée, mais ajoutez l'ail aux noisettes au lieu de l'ajouter au mélange. De cette façon, dans l'huile, il dorera comme les noisettes et sera plus savoureux.

Déposer sur un pain à hamburger de qualité, ajoutez une tomate et des épinards, un peu de mayonnaise et une tranche épaisse de Fleuron de Montérégie.

Accompagnez d'un californien rouge ou blanc, mais pas trop sec et de chips Kettle miel et dijon pour faire fancy et votre homme va vous faire des choses... torrides. Promis.

P.S. Prévoyez un peu de persil frais à la fin, question d'enlever un peu d'ail lors des doux baisers.

jeudi 16 juillet 2009

Muer

C'est le début des vacances. Mes vacances. En fait, je dois aller porter les clés au travail demain. C'est la seule chose qu'il me reste à faire là-bas; mes tiroirs sont déjà vides. Non, toujours pas de nouveau contrat.
Mais je pars pour le camping demain. Après être allé porter les clés. J'ai super hâte, ça fait bien deux mois que j'attends ce moment-là avec impatience. J'y vais principalement pour deux choses : premièrement, je veux me reposer. Deuxièmement, je vais y terminer ma retraite.
Et c'est cette deuxième partie qui mérite toute l'attention. Se reposer, pas besoin d'aller au camping pour faire ça. On peut faire ça partout. Le camping, c'est juste une plus-value. Non. Ce que je vais faire en camping est à mon avis bien plus nécessaire. Je mue. En fait, une de mes plus grandes fiertés s'est produite en revenant d'une semaine de camping. En fait, ça faisait déjà longtemps que j'y songeais. Et en camping, ma tête et mon corps ont pris le temps de se mettre en paix avec cette décision.
Je n'ai plus jamais fumé. Je ne suis pas un gourou, loin de moi l'idée de vous parler de la cigarette et de ma sortie de cet enfer, non ! L'odeur ne me dérange pas, même si je n'oserais même plus mettre le bout de mes lèvres sur aucune de ces ... choses.
Tout ça pour dire que c'est en revenant de camping que j'ai réalisé une de mes plus grandes fiertés. Et si je me souviens bien, ça m'a fait énormément progresser dans ma vie. Le camping est devenu l'aboutissement d'une réflexion qui a germé et qui a pris forme bien avant que cette semaine n'arrive enfin.
Cette année, ma semaine de camping servira à réaliser une autre fierté. En fait, il y en aura deux cette fois-ci. Je double la mise. J'en parlerai lorsque je trouverai que ça mérite de se retrouver sur un blogue. En attendant, une semaine de camping m'attend. Et j'ai bien l'intention de l'honorer.
Sur ce, bonne nuit. La pluie vient de recommencer, on va bien dormir.

mercredi 15 juillet 2009

Neige estivale

Un magnifique phénomène se produit dans ma cour l'été. Il dure deux semaines intensives. Une magnifique neige d'été. Faut juste balayer souvent. Très souvent :)


On me dit que ce sont les peupliers. Ah ok.

mardi 14 juillet 2009

Le pire été



C'est probablement le pire été de ma vie : il pleut sans arrêt, je m'ennuie éperdument de mon ex et je suis sans contrat de travail. Décidément, la vie se charge de mettre en pratique mon endurance !

mardi 7 juillet 2009

Célibat 101

Je suis célibataire. Depuis un mois et demi. La dernière fois remonte à il y a 10 ans où je rencontrai le premier de mes trois derniers ex.

Je suis triste, mais ça va. J'ai pleuré, mais je vais mieux, merci. Je pense encore à lui, oui, parfois. Mais la mélancolie laisse place à une douce nostalgie, de plus en plus en tout cas.
Je n'ai pas changé mes habitudes. Elles sont restées identiques à celles que j'avais avec mon ex, le dernier. Je popote, je bois, je fume, j'écoute de la musique et je fais des mots croisés (!). Par contre je ne joue plus au scrabble.

En fait, je crois que lorsque nous étions ensemble, mon ex et moi, on en profitait vraiment pour s'éloigner du quotidien. Je crois que nous étions tous les deux un peu malheureux, mais pour des raisons différentes. Mais bon. Je ne suis pas psychologue.
Toujours est-il que j'ai gardé exactement les mêmes habitudes. C'est autre chose qui a changé. En fait, j'ai redécouvert des sentiments que je ne connaissais plus. Vraiment. Un sentiment de quiétude, ne plus avoir à penser à autrui. Pour un instant. Juste pour un instant. Prendre un moment à soi. Réfléchir sur soi. En couple, je devenais obsédé par moi. J'avais tellement besoin de penser à moi et en même temps aucun temps pour le faire. Car, quand il n'était pas physiquement présent, c'est dans ma tête qu'il se tenait. J'en devenais un tantinet égocentrique, étrangement. Je dis étrangement parce que normalement ç'aurait dû être le contraire. Mais non. Le fait de me sentir obligé (par ma propre faute) de penser constamment à lui provoquait mon ego. Je m'obligeais à penser pour deux. Comme si sa vie dépendait de moi.

C'est vraiment devenu égocentrique, ça ! Ouf ! Alors voilà. Le célibat n'a pas changé mes habitudes. Du moins, pas pour l'instant. Il a changé mes sentiments. Il m'a fait renouer avec d'anciennes émotions que je croyais éteintes.

Ah oui, c'est vrai, une habitude qui a changé, j'ai commencé à boire pas mal de thé vert. Ou de l'eau citronnée. Je crois détecter une envie subtile de recommencer à prendre soin de mon corps. C'est pas que j'avais l'air affamé, mais je peux faire mieux ! Je m'y remets tranquillement. Déjà je me réveille beaucoup moins fatigué le matin.

Et là, je commence à trouver que le maire mérite vraiment son 4 % !

mardi 16 juin 2009

Trou noir, trou blanc

Enfin l'été ! Ah oui, c'est le ménage ! J'ai lavé mes fenêtres de salon et de porte patio aujourd'hui. J'étais bien content. Et qui dit ménage, dit ménage ! Et je crois bien que je vais aussi donner un coup de balai dans ma vie. Un bon ami. Que j'aimais beaucoup et qui me tape royalement sur les nerfs maintenant. Les chemins ne se suivent plus.

Il est tellement dans sa tête que plus rien n'existe et c'est terriblement insultant et démotivant à la fois. À quoi bon parler puisqu'il n'écoute même pas ce que je dis ? À quoi bon continuer de le voir ?

En effet, à quoi bon le voir ?

Mon ex me rend infiniment plus heureux. Et oui ! J'ai beaucoup plus de plaisir à passer du temps avec mon ex qu'à gaspiller des heures avec quelqu'un qui n'a plus aucun intérêt pour moi. Mon ex, il est intelligent et vif. Il a aussi la même naïveté que moi. On s'entend bien. Je souhaite le garder longtemps.

Alors voilà, c'est le ménage du printemps. On sort ce qui ne fonctionne plus. Ça me fait très étrange de dire ça, c'est une relation d'amitié de plus de dix ans dont il est question, et j'ai l'impression qu'elle sera bientôt chose du passé. M'enfin, il me restera toujours Montréal.

vendredi 15 mai 2009

Une ode à la joie : Mon Village

Vendredi soir, 20h18, assis sur mon balcon arrière, je capote. Je viens de finir de laver mes deux balcons qui en avaient bien besoin... et je capote. Vous savez à l'heure des 5 à 7 lorsque le soleil brille et nous aveugle, au même moment où ses rayons traversent les jeunes feuilles des arbres abondamment dispersés tout autour de l'appartement ? Cette lumière vive et tellement étincelante qu'elle nous oblige, à notre plus grand bonheur, à voir la vie en rose. Ça sent le printemps et le vent tiède nous caresse la jambe poilue. Dieu n'est pas mort, non monsieur !

Et bien c'est ce temps-là, monsieur, qu'il faisait au moment où j'ai lavé mes balcons. Et, bien que je ne sois encore jamais allé en Californie - ce que je compte faire le plus rapidement possible une fois dans ma vie - je me croyais à 4 pattes sur mon balcon sur Castro à San Francisco, torse poilu bien en vue, en train de laver mon balcon avant, partiellement caché par les arbres et leurs jeunes feuilles. La température, la tranquilité, les arbres, les plantes, les gangs de gais qui s'en vont au Sky, le soleil, tout me rappelait San Francisco sans même y avoir été ! Car il faut vous dire que j'habite un joli logement dans Centre-Sud, oui, mais qu'en plus, ce dernier est situé derrière un autre immeuble qui, lui, donne sur la rue. Le mien est situé... dans la cour de celui-ci, avec tous les arbres devant et deux immeubles de chaque côté qui ferment le terrain et qui nous donnent l'impression de vivre dans un petit paradis made in downtown. Vous en rêveriez :)

Mais mon appartement c'est plus qu'un appartement. C'est un milieu de vie extraordinaire, c'est Centre-Sud. Le quartier de la nonchalance et d'une douce indifférence réconfortante. Cette indifférence qui te dit : "Salut. Sois bleu, sois Noir, sois jeune, sois vieux, sois punk, sois itinérant, sois junkie ou pute, sois business man ou mère monoparentale, j'm'en christ pis j'te trouve cool. J'te dois rien, tu m'dois rien. Mais j'suis là pour t'aider si y t'arrive de quoi." C'est exactement de cette façon-là que je vis mon quartier et je m'ennuierais beaucoup de le perdre maintenant. C'est la diversité à son comble.

Il ne m'aura fallu que l'espace de deux secondes pour m'habiteur à Montréal tellement le jeune Asbestrien avait hâte de s'y submerger. Mais il m'aura bien fallu quinze ans pour tomber amoureuxde mon quartier. Je crois bien m'en être fait un nid. Aye le nazi, christ ton camp !

vendredi 20 mars 2009

La crisse de crotte !

C'est le retour du printemps... et le retour de la crotte de chien. De grâce, si vous voyez un propriétaire de chien qui ne ramasse pas les petits besoins de son fidèle ami lorsque ce dernier se vide, faites-lui donc bouffer le cadeau de son toutou. On va peut-être finir par les dresser, ces imbéciles !

Joyeux printemps ! Woohoo !

mercredi 4 mars 2009

L'instrument entre mes mains !

Je viens tout juste de lire un éditorial d'André Pratte dans La Presse d'aujourd'hui (4 mars 2009) où il traduit en français la lettre qu'il a envoyée pour publication au National Post il y a quelques jours. Disputes sur la vision du Canada entre deux hommes de lettres de même allégeance politique, mais pas de même allégeance "instrumental", disons. L'un est plus radical, à ce qu'il paraît, l'autre est plus modéré. D'où la discussion entre ces deux hommes. Mais ce n'est pas la discussion qui m'intéresse.
Je me suis mis à me demander ce que serait Mon Montréal dans un Québec souverain ? Qu'adviendrait-il de ma ville ? C'est alors que j'ai commencé à fabuler... J'ai d'abord vu un grand frisson d'euphorie nous envahir, tous. Les gens sortaient de leur maison tranquillement en espérant ne pas être les seuls à vouloir crier leur fébrilité, mêlée de crainte et de joie explosive. Comme si l'avion fracassait une poche d'air. Un malaise soudain. Très court. Juste assez pour nous rendre les mains moites.
Qu'est-ce que les gens allaient se dire le lendemain matin ? Comment allaient-ils se regarder dans le métro ? Oeraient-ils se parler plus et se sourire plus ? Je pense que non. Vous savez pourquoi ? Parce que ceux qui seraient contents auraient fêté toute la nuit et ne seraient pas allés au travail le jour d'après. "The day after" !
Ce serait quand même très déstabilisant les premiers temps. Surtout ici, à Montréal, où la majorité des immigrants habitent. Quelle sera la réaction de ceux et celles qui arrivent ici en terre d'accueil et qui se retrouvent tout à coup dans un pays scindé en deux ? Bien sûr qu'ils s'y habitueraient et je suis de ceux qui croient que les nouveaux arrivants s'intégreront mieux si le Québec devient un pays. Mais la charge sera deux fois plus lourde pour eux au départ, je crois.
Bon assez fabulé, je remets ça à plus tard !

samedi 28 février 2009

Profiter de Montréal

En plus (en plus quoi ?!), on peut en profiter vraiment comme on veut, de Montréal. Vous voyez, là, présentement, je me prépare à rédiger un travail de session de 12 pages, seul, dans ma cuisine, devant mon portable qui, lui-même est posté devant ma porte patio qui me garoche un soleil des plus annonciateurs d'un printemps imminent, en écoutant ma liste de lecture 4 étoiles sur Itunes. Bien sûr qu'on peut faire tout ça dans toutes les grandes villes du monde. Bien sûr. Mais le mot clé dans tout ça, c'est "seul". Le niveau de vie que je mène en ce moment est bien trop bas pour que je puisse habiter seul dans une autre grande ville que Montréal. Je suis en plein coeur du Village gai au centre-ville et je suis l'heureux locataire d'un 4 et demie. Je peux même mettre des économies de côté !
Évidemment, y a pas que l'argent, mais il n'arrive pas très loin dans mes priorités ces années-ci. Je me rends compte du bien-être que procure la possibilité de vivre et pas seulement survivre. Alors même si mon niveau de vie a augmenté, il serait bien insuffisant pour habiter dans les mêmes conditions à Toronto, à San Francisco ou même à Mumbai ! C'est un peu extrême tout ça, mais n'empêche qu'on ne se fait pas chier à Montréal. C'est quand même 40% de célibataires qui composent notre ville. Vous imaginez le nombre de personnes qui habitent seules ? Bon, ils n'habitent probablement pas tous tout seul, mais j'en connais un bon nombre dans cette situation.
C'est en partie vrai pour moi aussi. Car s'il est vrai que j'habite seul, je ne suis pas célibataire. Oh que non ! J'ai un merveilleux tit homme de bientôt 24 ans dans ma vie. Ça déménage au début, mais ça se place avec le temps. Je suis son premier "vrai" chum. Et je dois dire que je suis plutôt pris dans les filets. Il m'a très correctement hameçonné. Et c'est tant mieux, je l'aime !
Voilà un autre avantage de Montréal. Homosexualité et Égalité ne font qu'un.
Ne vous inquiétez pas, j'aurai parfois des mots durs pour Mon Montréal. Mais pas maintenant. On ne fait pas un blogue par négativisme. En tout cas, pas moi.
À bientôt xx

jeudi 26 février 2009

Montréal blanc

Montréal, c'est aussi l'hiver. C'est parce qu'il est présent ces temps-ci qu'on en parle tant. L'hiver à Montréal nous oblige à faire un retour sur nous-même. C'est le grand retour de l'ours, on dort. Mon ami, lui, il est exactement comme ça. Sur Panet, avec sa grande fenêtre, il reçoit tout le soleil dont il a besoin pour survivre pendant des mois. Il se couche sur son sofa de cuir brun en coin, vous savez en deux parties, et il dort. Devant la fenêtre. La bedaine à l'air. Si vous le voyiez, vous croiriez voir une loutre. C'est un hivernateur né ! Mais ces moments-là nous forcent à retourner sur les mois passés. Ils nous forcent à faire un retour puisque nous sommes enfermés la moitié du temps à l'intérieur. C'est très particulier, l'hiver. On ne peut pas dire qu'il fait chaud, mais on ne peut pas dire qu'il fait froid non plus. C'est chaud partout, sauf à l'extérieur. Mais l'hiver, c'est bien plus qu'un climat nordique.
C'est tout un monde, l'hiver. C'est très différent de l'été, où tout semble tellement plus facile. En habitant dans un pays nordique, on apprend à prévoir un temps pour s'habiller avant de sortir. On apprend que passer la moppe n'est vraiment pas un moindre mal, surtout dans l'entrée quand un amas de petites pierres de calcium entrent dans les semelles de bottes et qu'elles deviennent comme une craie sur un tableau. On apprend à avoir des mouchoirs sur soi. Mais surtout, et surtout, on apprend le tarif des salons de bronzage. Car il est vrai, à la fin de l'hiver, je me fais peur moi-même. J'ai besoin de retrouver des couleurs avant que le chaud soleil du printemps n'envahissent mon esprit et me fasse danser. Je vais certainement y revenir de ce sentiment d'euphorie qui anime les Québécois au retour du printemps. C'est comme une bataille gagnée à chaque fois. En attendant, je retourne aux problèmes de la Caisse...

mardi 24 février 2009

Quel parti ?

J'ai appris aujourd'hui que la plupart des partis politiques municipaux mouraient lorsque leur chef quittait le navire. On a annoncé la démission de Mario Dumont, bientôt ex-chef de l'ADQ, à la télévision ce soir et on comparait la situation de son parti (provincial) avec celle des partis politiques municipaux. Tout ça pour dire que j'ai enfin compris pourquoi je n'arrive jamais à me souvenir des noms de partis politiques à Montréal. Je me souviens des maires (Drapeau, Doré, Bourque, etc.), mais jamais de leur équipe ni de leur de leur nom de parti.
Peu importe ce qu'on dira à leur sujet, nous avons eu de bons maires en ville ! Me semble que les trois cités plus haut ont fait du bon boulot. Bien sûr qu'ils ont fait des conneries. Mais ils ont aussi fait de grandes choses... et pas nécessairement en tant que maire. Je pense au Jardin botanique, par exemple. Y a-t-il plus bel après-midi d'été que celui d'aller s'étendre sous un arbre dans ce somptueux jardin pour y bécoter son amoureux ou tout simplement pour écouter son Ipod ou espionner les fourmis ? C'est vraiment génial, cet endroit-là. En plus, c'est dans l'est. On l'oublie un peu trop souvent notre est !
N'hésitez pas à m'écrire ! Je pense bien que j'aurai du plaisir à vous lire tout autant que j'en ai eu à écrire ce premier petit bout d'universalité :) Ah oui et, en passant, si vous voyez des fautes, merci de m'en avertir. J'aime bien le français et je trouve qu'il est encore plus beau quand il est sur son trente-six :)

mercredi 18 février 2009

C'est un départ !

Mon Montréal. Comme Mon mononcle ou Ma matante. Au Québec, c'est parfois comme ça qu'on dit. Bienvenue sur Mon monblogue !